Vous souhaitez suivre une formation professionnelle ?
Changer de métier ?
Développer vos compétences ?
Nous formons des demandeurs d’emploi au travers de dispositifs de formation adaptés à leur situation.
Le Pôle Formation UIMM Centre-Val de Loire peut vous conseiller dans le choix d’une formation adaptée à vos besoins et vous aider à mieux connaître les différentes modalités pour une entrée en formation ou les différents dispositifs de financements possibles pour les demandeurs d’emplois.
Le Pôle Formation UIMM Centre-Val de Loire, régulièrement présente dans les entreprises de la région, possède, de ce fait, une bonne connaissance du bassin d’emploi et du tissu industriel. Nous pouvons vous proposer des formations professionnalisantes, qualifiantes ou diplômantes dans plusieurs domaines d’activités :
Pour en savoir plus sur les formations pour demandeurs d’emploi, contactez le Conseiller Emploi Formation de votre département (voir les contacts de nos Centres en région).
Accompagnement, formation et orientation des publics en situation de Handicap (voir ci-dessous).
Plusieurs dispositifs existent pour accéder à une formation.
Dans le cas d’une fin de CCD ou Intérim :
Pour tous les demandeurs :
Suite à un licenciement :
Bénéficiaire du RSA :
Les objectifs du CIF – CDD :
Le Congé Individuel de Formation peut vous permettre :
Les conditions du CIF – CDD :
24 mois, consécutifs ou non, en qualité de salarié relevant du droit privé, quelle qu’ait été la nature des contrats successifs, au cours des 5 dernières années dont 4 mois consécutifs ou non sous contrat à durée déterminée, au cours des 12 derniers mois.
ATTENTION – Certains C.D.D sont exclus du calcul des quatre mois exigés :
L’entreprise privée dans laquelle vous avez accompli votre dernier CDD doit entrer dans le champ de compétences du FONGECIF CENTRE.
La formation doit débuter au plus tard 12 mois après la fin du contrat ayant permis l’ouverture des droits.
Les démarches à effectuer :
Auprès de l’employeur :
Néant, sauf si l’utilisation des droits s’effectue durant le CDD. Dans ce cas, la procédure de demande est identique à celle du Contrat à Durée Indéterminée.
Auprès du FONGECIF CENTRE :
La procédure comporte deux étapes :
Pour en savoir plus sur la prise en charge financière :
et sur vos droits et devoirs pendant et après la formation
Rendez-vous sur le site « Etoile » de la Région Centre-Val de Loire
Vous relevez une offre d’emploi sur laquelle est mentionnée » Préparation Opérationnelle à l’Emploi » , ou négociant les conditions d’une prise de poste sur un contrat de travail à durée déterminée (CDD) d’au moins douze mois, d’un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) – vous constatez qu’il vous manque quelques compétences.
Avec l’accord du futur employeur, la préparation opérationnelle à l’emploi (POE) est destinée à combler l’écart entre les compétences que vous détenez et celles nécessaires à l’emploi que vous visez.
Ce dispositif s’applique à toute personne inscrite à Pôle emploi.
Conditions :
Formation :
La préparation opérationnelle à l’emploi, prescrite par Pôle emploi, peut prendre en charge jusqu’à 400 heures de formation et peut se faire à temps plein ou à temps partiel. La formation doit être réalisée soit par un organisme de formation interne à l’entreprise qui vous recrute, soit par un organisme de formation externe à l’entreprise qui vous recrute.
La Préparation Opérationnelle à l’Emploi peut être mise en place pour une formation pré-qualifiante précédant un contrat de professionnalisation.
Statut :
Pendant la durée de la formation, vous êtes stagiaire de la formation professionnelle,
rémunéré et à ce titre :
… et pour votre employeur :
Une aide au financement de la formation est versée à l’employeur après qu’il vous ait effectivement embauché(e) en CDD d’au moins 12 mois ou en CDI, comme prévu initialement :
Cette aide peut être complétée par un financement de l’Organisme Paritaire Collecteur Agréé (OPCA) dont dépend l’entreprise, afin de couvrir tout ou partie du montant de la formation dont vous bénéficierez.
Le pôle emploi, en charge de la POE, et l’OPCA, qui est en lien avec l’employeur, accompagnent l’entreprise dans l’élaboration de votre plan de formation et décident du versement de cette aide. Ils disposent pour cela du bilan écrit de la convention et d’une copie de votre contrat de travail.
L’Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) permet la mise en place d’une formation de préparation à une prise de poste.
Elle est accordée à un employeur en contrepartie du recrutement d’un ou de plusieurs demandeurs d’emploi et elle finance, en partie, les frais engagés pour une action de formation.
Public : Tout demandeur d’emploi inscrit à Pôle emploi, indemnisé ou non, auquel est proposé un emploi nécessitant une adaptation ou le développement de ses compétences par le biais d’une formation.
Employeurs concernés : secteur privé ou public ainsi que les particuliers employeurs. (L’entreprise doit être à jour de ses contributions d’assurance chômage),
L’objectif : Permettre à un demandeur d’emploi d’acquérir les compétences professionnelles requises pour occuper l’emploi correspondant à une offre déposée par l’entreprise auprès de Pôle emploi.
Conditions : L’action de formation suppose un plan de formation précis sur les objectifs pédagogiques identifiés et les moyens mis en œuvre pour les atteindre. Elle est réalisée par un organisme interne ou externe à l’entreprise et/ou par l’employeur sous forme de tutorat.
Avantage : Aide à la formation de Pôle emploi :
Montant maximum (dans la limite de 400 heures et des coûts pédagogiques de la formation) :
Statut : Pendant la durée de la formation, le, ou la, bénéficiaire a un statut de stagiaire de la formation professionnelle.
Rémunération : Il, ou elle, percevra :
Pour plus d’information sur l’action de formation préalable au recrutement
consultez la fiche pratique de www.service-public.fr
Conditions initiales
Créé par la loi n° 2011-893 du 28 juillet 2011 et entré en vigueur le 1er septembre 2011, le CSP s’adresse aux salariés dont le licenciement économique est envisagé dans une entreprise non soumise à l’obligation de proposer un congé de reclassement. (c’est-à-dire les entreprises dont l’effectif tous établissements confondus est inférieur à 1000 salariés et les entreprises en redressement ou liquidation judiciaire sans condition d’effectif).
Dans ces entreprises, l’employeur est tenu de proposer le bénéfice du CSP à chaque salarié dont il envisage de prononcer le licenciement pour motif économique, quelle que soit son ancienneté. Cette proposition doit être faite lors de l’entretien préalable ou à l’issue de la dernière réunion des représentants du personnel (article L. 1233-11 et L. 1233-28 à L. 1233-30 du code du travail).
Pour pouvoir bénéficier d’un CSP, les salariés doivent également remplir les conditions suivantes :
Objet du CSP et allocation
Ce contrat, d’une durée maximale de 12 mois, a pour objet l’organisation et le déroulement d’un parcours de retour à l’emploi, le cas échéant au moyen d’une reconversion ou d’une création ou reprise d’entreprise. Pendant la durée de ce contrat, et en dehors des périodes durant lesquelles il exerce une activité rémunérée, le titulaire du CSP perçoit une allocation spécifique de sécurisation professionnelle (ASP) égale à 80 % du salaire journalier de référence (soit à peu près l’équivalent du salaire net) pour les salariés justifiant d’un an d’ancienneté dans l’entreprise.
Mise en place du CSP
Chaque salarié susceptible de bénéficier du CSP doit être informé par son employeur, individuellement et par écrit, du contenu du contrat de sécurisation professionnelle et de la possibilité d’en bénéficier.
Pour cela, l’employeur doit remettre au salarié, contre récépissé, un document écrit d’information sur le CSP. Le salarié dispose d’un délai de réflexion de 21 jours à compter du lendemain de la remise du document. Le document remis comporte également un volet bulletin d’acceptation détachable, à compléter par le salarié s’il demande à bénéficier du contrat de sécurisation professionnelle et à remettre à son employeur.
Pendant ce délai de réflexion, le salarié bénéficie d’un entretien d’information réalisé par Pôle Emploi, destiné à l’éclairer dans son choix.
Le salarié manifeste sa volonté de bénéficier du contrat de sécurisation professionnelle en remettant à l’employeur le bulletin d’acceptation dûment complété et signé. Pour être recevable, le bulletin d’acceptation doit être accompagné de la demande d’allocation de sécurisation professionnelle dûment complétée et signée par le salarié et comporter une copie de la carte d’assurance maladie (carte Vitale) et d’une pièce d’identité.
Dans tous les cas, l’absence de réponse dans le délai prévu est assimilée à un refus du contrat de sécurisation professionnelle.
Le parcours
Le parcours débute par une phase de pré bilan, d’évaluation des compétences et d’orientation professionnelle en vue de l’élaboration d’un projet professionnel tenant compte, au plan territorial, de l’évolution des métiers et de la situation du marché du travail. Il comprend des mesures d’accompagnement, notamment d’appui au projet professionnel, ainsi que des périodes de formation et de travail.
L’accompagnement des bénéficiaires du CSP est confié à Pôle Emploi
Au cours de son CSP, le bénéficiaire peut réaliser deux périodes d’activités professionnelles en entreprise, sous forme de CDD ou de contrat d’intérim d’une durée minimale d’un mois, et dont la durée totale ne pourra excéder trois mois. Pendant ces périodes, le bénéficiaire est salarié par l’entreprise où il exerce et le versement de son allocation de sécurisation professionnelle est suspendu.
Nota : Une indemnité différentielle de reclassement (IDR) est versée au bénéficiaire du CSP qui, avant le terme de ce contrat, reprend un emploi dont la rémunération est, pour un nombre identique d’heures hebdomadaires de travail, inférieure d’au moins 15 % à la rémunération de son emploi précédent.
Au terme de ce contrat, le bénéficiaire d’un CSP qui, est à la recherche d’un emploi, peut bénéficier de l’allocation d’aide au retour à l’emploi, dès son inscription comme demandeur d’emploi, sans différé d’indemnisation, ni délai d’attente. La durée d’indemnisation au titre de cette allocation est, dans ce cas, réduite du nombre de jours indemnisés au titre de l’allocation spécifique de sécurisation professionnelle.
Informations complémentaires
Les employeurs et les salariés peuvent trouver, sur le site de Pôle emploi, de l’UNEDIC, et du ministère du travail de l’emploi et de la santé, l’ensemble des documents relatifs à ce dispositif :
Voir sur le site de Pôle Emploi
Public concerné
L’APRE (aide personnalisée au retour à l’emploi) vise à faciliter l’insertion des personnes bénéficiaires du RSA à la recherche d’un emploi. L’APRE est une aide de l’état versée et gérée par le département et le Pôle Emploi.
Les personnes ayant perçu des revenus inférieurs à 500 € en moyenne durant les 3 derniers mois peuvent aussi bénéficier de cette aide.
La demande d’APRE s’inscrit dans une démarche de recherche active d’emploi et doit être justifiée, selon les possibilités, par :
Les créateurs d’entreprises peuvent aussi prétendre à cette aide.
Toute personne en contrat aidé du type contrat d’insertion, peut bénéficier de l’APRE.
Pour bénéficier de l’APRE, vous devez vous adresser à :
Si vous n’avez pas de référent, vous pouvez vous rendre dans le CDAS de votre commune.
Un conseiller Pôle Emploi pourra aussi vous orienter dans ces démarches.
Formalités à remplir pour l’APRE
Avec votre référent ou votre assistante sociale, vous remplirez un dossier pour motiver votre demande d’APRE. Cette demande comprendra entre autre le formulaire de demande d’aide personnalisée de retour à l’emploi.
Montant de l’APRE
Le cumul de l’ensemble des aides relevant de l’APRE ne peut dépasser un plafond, variable d’un département à l’autre. Généralement, ce plafond se situe entre 2.000 et 3.000 euros par an et par bénéficiaire de l’APRE. Ce plafond représente le cumul de l’ensemble des aides dont vous pourrez bénéficier avec l’APRE en une année.
Percevoir l’APRE
Le montant de chacune des aides dont vous pouvez bénéficier dans le cadre de l’APRE varie d’un département à l’autre. Contactez les services du conseil général de votre département pour être informé(e) avec précision.
Pour de plus amples informations , vous pouvez consulter le site du Service-Public